Livraison gratuite pour toute commande

Commandez avant XXh ➔ votre colis expédié aujourd'hui

Notre spiruline 100% pure : en acheter

Passer une commande

Phycocyanine en comprimés

Blucyanis® est le résultat de l'extraction inaltérée du plus noble des pigments de notre spiruline : la phycocyanine.
Isoler ce pigment n'est pas une décision facile puisque cela demande de sacrifier une grande quantité de spiruline pour quelques grammes de comprimés Blucyanis.
Nous en produisons chaque année un nombre limité : ce produit rare est une exclusivité réservée à une sélection de clients.

Disponible en format comprimés, uniquement sur la boutique privée.

photo de comprimés de phycocyanine

Qu'est ce que c'est ?

La spiruline contient une quinzaine de pigments (chlorophylle, caroténoïdes, etc.) mais le principal est son pigment bleu.

Ce pigment essentiel à la croissance de la microalgue, entre dans la famille des phycobilines dont la structure est proche des bilines humaines. Aussi appelés pigments biliaires, ces derniers sont produits par la dégradation de l’hémoglobine des globules rouges. Une similarité biologique qui rend la phycocyanine assimilable par le sang.

Issue de la fraction hydrosoluble de la spiruline, ce phytopigment protéique fluorescent absorbe et capture les photons. Cette énergie lumineuse est ensuite transformée en énergie électro-biochimique qui contient des sels minéraux, des acides aminés, des protéines, des sucres, des vitamines hydrosolubles et des enzymes.

La consommation de cet "Or bleu" permet l’apport du pigment sous forme libre et donc directement assimilable par l’organisme. Une fois libérée, la phycocyanine offre une biodisponibilité incomparablement plus importante : elle est reconnue pour être 7000 fois plus active que lorsqu’elle est contenue dans la spiruline.

Sous forme d'extrait, le potentiel santé du pigment bleu est, en effet, largement supérieur à celui de l’algue entière car son assimilation nécessite - lorsqu'il n'est pas isolé - que le processus digestif redouble d'efforts afin d’exposer la phycocyanine résiduelle au pH acide de l’estomac.

En réalité, la plupart des bienfaits et activités biologiques attribués à la spiruline sont dus à la phycocyanine qu'elle contient.

Bombe nutritionnelle, cette phycocyanine est bien plus puissante que l’algue bleue qui la renferme : elle fascine désormais aussi bien les scientifiques que ses consommateurs.

De puissants bienfaits

Antioxydant d’exception, la phycocyanine aide le corps à lutter contre les radicaux libres et les effets du vieillissement cellulaire. En outre, elle protégerait des lésions induites par le stress oxydatif et pourrait jouer un rôle dans la protection contre le développement des pathologies neurodégénératives.

Dotée de propriétés anti-inflammatoires et immunostimulantes, la phycocyanine soutient efficacement les globules rouges et les lymphocytes. En plus de fluidifier le sang en entravant l'agrégation des plaquettes, elle renforce les défenses naturelles de l'organisme. Son action détoxifiante agit en tant que chélateur : elle élimine les métaux lourds dans le foie et les reins. Son rôle hépatoprotecteur favorise la synthèse des sels biliaires : elle améliore ainsi la digestion des lipides.

Ses bienfaits s'étendent également aux personnes qui souffrent d'arthrose, de fibromyalgie ou d'asthme, elle démontre également une efficacité préventive contre le syndrome métabolique, notamment le diabète de type 2, selon une étude pionnière réalisée en France. En outre, la phycocyanine contribue à la régénération de la flore intestinale, aide à combattre la fatigue et favorise la concentration.

Sa puissante action antioxydante suscite l'intérêt des laboratoires, qui explorent son potentiel anticancéreux. Une étude du Journal of Cancer en 2017 révèle que la phycocyanine entrave la progression de la maladie en inhibant la croissance des cellules cancéreuses et en soutenant l'autophagie, un mécanisme naturel de recyclage des déchets cellulaires. Sa fonction chélatrice facilite l'élimination des toxines liées aux traitements médicamenteux.

L'association de la phycocyanine à la chimiothérapie et à la radiothérapie permet non seulement de minimiser les effets secondaires, mais renforce également l'efficacité du traitement. Une étude de 2018 montre également son rôle dans la promotion de l'apoptose, l'élimination des cellules malades dans le cas d'un cancer du sein. Une recherche en cours au CHU de Nantes vise à analyser l'activité de la phycocyanine comme support de soin en oncologie.

"EPO naturelle"

L’érythropoïétine, plus connue sous le nom d’EPO est l’hormone naturellement fabriquée par les reins (80 %) et le foie (20 %) responsable de la différenciation et de la prolifération des globules rouges. En cas de diminution des globules rouges, le recours à l’EPO de synthèse permet d’augmenter les capacités du sang à transporter l’oxygène. Dans le milieu sportif, c’est une pratique illégale mais tout à fait bénéfique dans le milieu médical.

Grâce à sa structure très proche de celle de l'hémoglobine (à un atome près), la phycocyanine stimule l'activité de l’hormone érythropoïétine.

Elle est ainsi recherchée pour son effet coup de fouet, car le pigment stimule la libération de l’hormone EPO. Facteur de croissance des globules rouges, l’EPO améliore la capacité du sang à transporter l’oxygène et favorise la performance musculaire. Si sa version synthétique est à l’origine de plusieurs scandales de dopage dans le cyclisme et l’athlétisme, de nombreux sportifs utilisent la phycocyanine comme complément alimentaire et sans danger. Citons David Smétanine, champion paralympique de natation et membre de l’Agence française de lutte contre le dopage.

Recherches

D’après de nombreuses expériences réalisées in vitro, on pense que certaines formes de cancer sont le résultat de l’ADN cellulaire endommagé. Lorsque les enzymes dites endonucléase qui réparent l’ADN sont endommagées sous l'effet de la radiation ou des toxines, le cancer peut se déclarer. Ces expériences ont montré que les polysaccharides contenus dans cet extrait de spiruline permettent d’améliorer l'activité enzymatique du noyau cellulaire et d’entamer le processus de réparation de l’ADN.

D’autres études montrent que les polypeptides bleu vif influeraient sur les cellules souches situées dans la moelle osseuse. Celles-ci servent aux globules blancs qui constituent le système immunitaire cellulaire et aux globules rouges qui assurent une bonne oxygénation de l’organisme. Même lorsque certaines cellules souches ont été endommagées par des produits chimiques toxiques ou des radiations, la phycocyanine parvient malgré tout à réguler la production de globules blancs. On saisit davantage la raison pour laquelle l'administration de spiruline, et par conséquent de phycocyanine, à 270 enfants de Tchernobyl, dont la moelle osseuse avait subi des dommages dus aux radiations, a conduit à leur rétablissement en seulement 6 semaines. À ce stade, les organismes de ces enfants, anémiques et immunodéprimés, étaient incapables de générer des globules rouges ou blancs normaux.

En 1996, des scientifiques (Laboratory of Viral Pathogenesis, Dana-Farber Cancer Institute and Harvard Medical School, Boston) ont déclaré que ce pigment permettait d’inhiber la réplication du V.I.H. dans les lymphocytes T et les cellules sanguines mononucléaires périphériques à une concentration de 5 à 10 µg/ml.

D’autres études ont montré la capacité de la phycocyanine à inhiber divers virus tels que celui de la grippe A, des oreillons, de la rougeole, de l’herpès simplex et du cytomégalovirus et ce, sans danger. Ces études ont démontré son aptitude à protéger la cellule en empêchant la pénétration du virus à travers la membrane. Le virus peut alors se multiplier et finit par être éliminé.

Enfin, la phycocyanine démontre une activité anti-radicalaire et antioxydante exceptionnellement puissante : elle renforce ainsi les défenses de l'organisme. Même à des concentrations micromoléculaires, elle agit de manière efficace sur les radicaux peroxydés et les radicaux organiques. Des expériences ont révélé qu'elle surpassait de manière significative le troxol (un dérivé de la vitamine E), avec une efficacité 16 fois supérieure, et l'acide ascorbique (vitamine C), avec une supériorité de 20 fois. La phycocyanine possède ainsi la capacité de neutraliser les radicaux libres qui, en excès, pourraient provoquer des lésions au niveau de l'ADN des cellules.

Le format comprimé

Grâce au format comprimé, l'utilisation de Blucyanis est simple et pratique : ces comprimés de phycocyanine offrent une concentration élevée dans un volume ultra-compact. Un seul comprimé par jour suffit pour bénéficier pleinement des bienfaits du pigment bleu (à avaler avec un verre d'eau ou à laisser fondre : les comprimés sont solubles). Une boite dure 30 jours, période recommandée pour une cure coup de fouet revitalisante.

Blucyanis en bref

  • Phycocyanine en comprimés : format exclusif ✓
  • "EPO naturelle" ✓
  • Aide à la production de cellules souches ✓
  • Stimule le système immunitaire ✓
  • Puissante activité antivirale ✓
  • Protège l’ADN ✓
  • Action anti-inflammatoire ✓
  • Détoxifie le système hépatique ✓

Extrait du livre "Les secrets des microalgues" - Dr Jean-Louis Vidalo :

couverture du livre du Dr Vidalo avec un chapitre dédié à la phycocyanineLa phycocyanine, dont les travaux scientifiques nombreux commencent seulement à démontrer d'extraordinaires vertus, est un :

  • Puissant antioxydant,
    Il a également été mis en évidence :
  • Son effet anti-Cox 2 (anti-inflammatoire naturel) comparable aux molécules de synthèse les plus récentes, mais sans en avoir les effets secondaires et les contre-indications,
  • Son action stimulante immunitaire remarquable. C'est même le plus puissant stimulant immunitaire d'origine naturelle connu à ce jour. Il induit une augmentation très significative des lymphocytes T, notamment des CD4 et des CD8, dans des populations porteuses du virus HIV/SIDA, et/ou de certains cancers,
  • Son pouvoir stimulant des NKC (Natural Killer Cells), ces cellules « tueuses » qui permettent à l'organisme humain de reconnaître les cellules cancéreuses, puis de les éliminer naturellement par phagocytose.

Enfin, son action inhibitrice de l'acétylcholinestérase, qui laisse présager une action favorable, voire préventive, dans les affections neuro-dégénérative dont la très redoutée maladie d'Alzheimer. Autant de voies extrêmement prometteuses qui font aujourd'hui l'objet de nombreuses recherches de par le monde.


Références

  • Ayehunie, S., Belay, A., Hu, Y., Baba, T., & Ruprecht, R. (1996). 7th IAAA Conference. Knysna, South Africa April, 17.
  • Jiang, L., Wang, Y., Yin, Q., Liu, G., Liu, H., Huang, Y., & Li, B. (2017). Phycocyanin: a potential drug for cancer treatment. Journal of Cancer, 8(17), 3416.
  • Jiang, L., Wang, Y., Liu, G., Liu, H., Zhu, F., Ji, H., & Li, B. (2018). C-Phycocyanin exerts anti-cancer effects via the MAPK signaling pathway in MDA-MB-231 cells. Cancer cell international, 18(1), 1-14.
  • Chen, Y. H., Chang, G. K., Kuo, S. M., Huang, S. Y., Hu, I., Lo, Y. L., & Shih, S. R. (2016). Well-tolerated Spirulina extract inhibits influenza virus replication and reduces virus-induced mortality. Scientific reports, 6(1), 1-11.
  • Estrada, J. P., Bescós, P. B., & Del Fresno, A. V. (2001). Antioxidant activity of different fractions of Spirulina platensis protean extract. Il farmaco, 56(5-7), 497-500.
  • Romay, C., & Gonzalez, R. (2000). Phycocyanin is an antioxidant protector of human erythrocytes against lysis by peroxyl radicals. Journal of Pharmacy and Pharmacology, 52(4), 367-368.
  • Rodríguez-Sánchez, R., Ortiz-Butrón, R., Blas-Valdivia, V., Hernández-García, A., & Cano-Europa, E. (2012). Phycobiliproteins or C-phycocyanin of Arthrospira (Spirulina) maxima protect against HgCl2-caused oxidative stress and renal damage. Food chemistry, 135(4), 2359-2365.
  • Reddy, C. M., Bhat, V. B., Kiranmai, G., Reddy, M. N., Reddanna, P., & Madyastha, K. M. (2000). Selective inhibition of cyclooxygenase-2 by C-phycocyanin, a biliprotein from Spirulina platensis. Biochemical and biophysical research communications, 277(3), 599-603.
  • Romay, C. H., Armesto, J., Remirez, D., Gonzalez, R., Ledon, N., & Garcia, I. (1998). Antioxidant and anti-inflammatory properties of C-phycocyanin from blue-green algae. Inflammation research47(1), 36-41.
  • Romay, C. H., Gonzalez, R., Ledon, N., Remirez, D., & Rimbau, V. (2003). C-phycocyanin: a biliprotein with antioxidant, anti-inflammatory and neuroprotective effects. Current protein and peptide science4(3), 207-216.
  • Shih, C. M., Cheng, S. N., Wong, C. S., Kuo, Y. L., & Chou, T. C. (2009). Antiinflammatory and antihyperalgesic activity of C-phycocyanin. Anesthesia & Analgesia, 108(4), 1303-1310.
  • Al-Qahtani, W. H., & Binobead, M. A. (2019). Anti-inflammatory, antioxidant and antihepatotoxic effects of Spirulina platensis against d-galactosamine induced hepatotoxicity in rats. Saudi journal of biological sciences26(4), 647-652.
  • Chang, C. J., Yang, Y. H., Liang, Y. C., Chiu, C. J., Chu, K. H., Chou, H. N., & Chiang, B. L. (2011). A novel phycobiliprotein alleviates allergic airway inflammation by modulating immune responses. American journal of respiratory and critical care medicine, 183(1), 15-25.
  • Saini, M. K., & Sanyal, S. N. (2014). Piroxicam and c-phycocyanin prevent colon carcinogenesis by inhibition of membrane fluidity and canonical Wnt/β-catenin signaling while up-regulating ligand dependent transcription factor PPARγ. Biomedicine & Pharmacotherapy68(5), 537-550.
  • Vadiraja, B. B., Gaikwad, N. W., & Madyastha, K. M. (1998). Hepatoprotective effect of C-Phycocyanin: protection for carbon tetrachloride andR-(+)-pulegone-mediated hepatotoxicty in rats. Biochemical and Biophysical Research Communications249(2), 428-431.
  • Liao, G., Gao, B., Gao, Y., Yang, X., Cheng, X., & Ou, Y. (2016). Phycocyanin inhibits tumorigenic potential of pancreatic cancer cells: role of apoptosis and autophagy. Scientific reports6, 34564.
  • Bannu, S. M., Lomada, D., Gulla, S., Chandrasekhar, T., Reddanna, P., & Reddy, M. C. (2019). Potential Therapeutic Applications of C-Phycocyanin. Current drug metabolism.
  • Bhat, V. B., & Madyastha, K. M. (2000). C-phycocyanin: a potent peroxyl radical scavenger in vivo and in vitro. Biochemical and biophysical research communications275(1), 20-25.
  • Petrus, M., Culerrier, R., Campistron, M., Barre, A., & Rougé, P. (2009). ALLERGY Net. Allergy65, 924-925.
  • Jensen, G. S., Drapeau, C., Lenninger, M., & Benson, K. F. (2016). Clinical safety of a high dose of Phycocyanin-enriched aqueous extract from Arthrospira (Spirulina) platensis: Results from a randomized, double-blind, placebo-controlled study with a focus on anticoagulant activity and platelet activation. Journal of medicinal food19(7), 645-653.
  • Zhang, C. (1994). Second Asia-Pacific Conference on Alga Biotechnology, April 25-27. The Effects of Polysaccharide and Phycocyanin from Spirulina platensis variety on Peripheral blood and Hematopoietic system of Bone Marrow in Mice, 58.